Le quotidien de Bloody Harry n’est pas de tout repos. Chaque jour à son lot d’imprévus . Ce n’est pas certain qu’il faille vraiment compter sur ces amis. Quand on vit dans une école de magie, il est normal qu’il se passe des choses singulières. Comme Harry est un horcruxe, depuis qu’il a rencontré celui dont on ne dit pas nom, par conséquent, la poisse lui colle au train. Son aptitude à parler la fourchelang lui offre des opportunités singulières. Le fait de parler dans son sommeil permet à Rou d’épater les filles. Pas n’importe quelle nana puisqu’il s’agit d’Hermine. A t’elle vraiment besoin de ça? Cela fait un moment qu’elle est tombée sous son charme. Donc il n’a pas besoin de dire qu’il a un gros pénis non plus. Même si c’est plus un argument pour se flatter entre mecs. Pourtant avec une formule magique tout est possible. Le sens de l’aventure est partout présent. Quand on explore des tunnels souterrains, on peut ressortir dans la cabane d’Hagrid, directement dans les toilettes. Même Albin Crumbledore s’amuse à faire des blagounettes à ces élèves. Oiso brûle régulièrement. Rien de tel que de faire culpabiliser le héros pour s’amuser. Les occasions ne manquent pas de se changer les idées.

Il n’y a pas à dire, Harry Potter à de vrais fans partout. A tel point que la version trash est à son cinquième tome. Alexandre Arlène a vraiment de la suite dans les idées. Il n’hésite pas à aller dans tous les recoins de l’absurde, de la folie et de l’improbable et en quatre cases maximum. Et contrairement à la gentille version, ici on n’hésite pas à tuer des gentils, les torturer et faire couler le sang. D’ailleurs, on n’hésite même pas à parler de règles avec les héros d’une saga à succès. Même avec des noms détournés, on y voit les références sans grande peine. Les puristes trouveront certaines incohérences entre la présence de quelques personnages. Pour toucher un plus large public, les références à la culture populaire s’observe ici et là. On s’amuse de voir les X-Men ou Yoda. Tout reste cohérent. Ames sensibles s’abstenir car les gros mots, fientes de hiboux, blessures exacerbées… sont omniprésents.