Sôten no Ken (Souten no Ken alias Fist of the Blue Sky) est une série en vingt-deux tomes publiée au Japon aux éditions Coamix puis Shinchosha. Se déroulant dans le Japon et la Chine des années 1930, Kasumi Kenshiro (l'oncle du plomb de Hokuto no Ken ) est contraint de quitter son poste d'enseignant et de régler une vieille rivalité de gangs à l'aide de ses arts martiaux. En chemin, il rencontre le fils d'un de ses copains de triade, une vieille flamme et un vieil homme mystérieux qui lui apprend de nouvelles techniques qui l'aideront dans sa quête.

1932, Shanghai. La ville est aux mains de la pègre et le théâtre d'un affrontement entre le Syndicat de Jade et l'Union du Pavot Sanglant, qui se disputent chèrement ce territoire sans foi ni loi. Trois ans plus tard, cette rivalité garante d'un semblant d'équilibre n'est plus qu'un lointain souvenir et Shanghai a définitivement sombré dans le chaos. Mais tout va basculer lorsque Kenshirô Kasumi reçoit au Japon la visite d'un ancien membre du Syndicat de Jade, venu lui apporter une terrible nouvelle. Celle-ci va réveiller celui qui, naguère, était plus connu sous le nom de « Yanwang, le roi des enfers », héritier du Hokuto Shinken, un art martial aussi précis que mortel. Deuxième tome pour cette préquelle à Hokuto No Ken (Ken le Survivant) où nous suivons toujours l'oncle de Kenshirô, Kenshirô Kasumi, 62e successeur de la légendaire technique du Hokuto Shinken, à Shanghai, prix entre le combat que se mène le Syndicat de Jade et l'Union du Pavot Sanglant. Violence, des personnages ahurissants et des combats titanesques sont toujours au programme. Et bien sur le trait de Tetsuo Hara et ses scènes de Fight toujours reconnaissable entre des milliers. Les personnages ont beaucoup d'honneur, d'amour et de fierté, et beaucoup de larmes sont versées dans la joie et la sympathie. Il y a aussi de bons visuels, bien qu'il introduit également beaucoup de mythes difficiles à croire.