Francis Von Bloodt, vampire de son état, est le gérant du parc d'attractions Zombillénium. Chaque membre du staff a signé un contrat dont il aurait été utile de lire les petites lignes. S'ils ne sont pas au bureau avant 8h, ils se consumeront, rien que ça. Car Zombillénium est un authentique parc de morts-vivants. On y croise des vampires donc, mais aussi des zombies ou encore des loups-garous. Ce tome s'éloigne quelque peu de son ainé, en encrant davantage le récit dans le monde réel (avec fausse une de la Voix du Nord à l'appui). Les gens des alentours commencent à s'inquiéter de l'influence néfaste de Zombillénium sur la région, surtout qu'on ne peut pas dire que le parc rapporte beaucoup à l'économie locale, étant donné qu'il n'emploie que des morts et des sorcières. En plus de cela, le personnel est en proie à quelques frictions avec les ressources humaines, car nombre d'"employés" aimeraient prendre des vacances. Mais Francis Von Bloodt a d'autres problèmes en tête pour le moment. En effet, le vampire Bohémond Jaggar de Rochambeau vient d'être nommé par les administrateurs de Zombillénium pour seconder Francis dans sa gestion. Les employés ne savent pas quoi penser de cette décision, car Rochambeau est décrit comme un authentique tueur. Il est là pour faire du chiffre pour faire plaisir aux actionnaires, mais aussi pour collecter des âmes pour le bien de Behemoth.

Zombillénium est en plein doute, et les actes malveillants se multiplient dans le parc. Aurélien est lui même quelque peu dépressif, et s'apprête à commettre l'irréparable ... jusqu'à ce que Gretchen intervienne. Cette dernière a d'ailleurs un projet pour lui, et l'on découvrira pourquoi elle se trouve vraiment à Zombillénium. Aurélien, en tant qu'ancien juriste, va de son côté consulter les contrats du parc pour trouver une éventuelle faille. On apprendra au passage que les billets vendus pour les attractions ne sont pas un ticket d'entrée, mais plutôt un ticket de sortie. Lorsque les humains sont à Zombillénium, leurs âmes appartiennent à Behemoth. Forcément, le nouveau gestionnaire compte bien profiter de cette disposition contractuelle ...