Dear Call est une série en quatre tomes publiée au Japo aux éditions Shueisha. Sanso vit sur une île isolée du reste du monde avec deux créatures, Goot et Moon, qu'il considère comme ses plus proches amis. Ils se sont sauvés mutuellement quand ils étaient jeunes et ont depuis toujours été ensemble. Hélas, quand des voyageurs débarquent dans leur petit paradis tout s'effondre. Selon eux, Goot ne serait rien d'autre qu'un Anima, un démon tueur d'humains, qu'il faut éliminer ! Sanso n'y croit pas une seconde mais impossible de résonner Rindo l'invocatrice en charge d'annihiler ses créatures. Après un combat sans merci, Sanso et Moon doivent cacher la vérité sur le sort de Groot et intégrer une école d'invocateur pour comprendre ce monde nouveau et leur destinée.

Après que Miho, une employée de l'école, se soit faite agresser à l'extérieur de l'invocadémie, à cause de la lâcheté des invocateurs sensés surveiller l'établissement scolaire des Black anima, c'est au tour de Sanso et Agito d'aller donner une correction aux responsables, qui ont laissé cette fille presque pour morte. Sauf que, en arrivant sur place, les choses ne vont pas particulièrement se passer comme prévu. En parallèle, du côté d'Hineto, le frère de cœur d'Agito, sa présence dans l'école dérange aussi bien les élèves que les enseignants, car le passé de sa famille serait à l'origine du mal qui ronge ce monde. Mexus va nous en apprendre un peu plus sur l'origine des Black anima et sur Goot en particulier, sans oublier Moonlight, la réincarnation d'une des cinq bêtes de l'ancien peuple vertite, sûrement bien plus puissante qu'on ne pouvait l'imaginer. Dans ce tome deux, l'histoire avance rapidement mais est maîtrisée et cela tombe bien pour une série courte. Sanso s'est très bien intégré à l'Invocadémie, il est plus proche de ses camarades. Le Mont Noir engendre les Black Anima, qui sont des copies plus ou moins parfaites de lui. Quand est-il de Goot ? Un élève réussit à invoquer une nouvelle Bête "légendaire" afin de protéger un ami. La nouvelle génération d'invocateur prend la relève ! À part ça, le dessin est bon, sans pour autant être exceptionnel.