Valkyrie Apocalypse - La légende de Lü Bu (Shuumatsu no Valkyrie Ibun: Ryo Fu Housen Hishouden) est une série en sept tomes publiée au Japon aux éditions Tokuma Shoten. Valkyrie Apocalypse est probablement l'un des plus remarquables shonen d'action actuellement publiés par Ki-oon, une histoire qui oppose les dieux aux humains dans un tournoi de combat où l'humanité - avec une valkyrie comme porte-parole - se lève et utilise ses meilleurs héros pour se sauver de l'anéantissement. Alors que chacun des personnages de cette intrigue insensée présente généralement son histoire sous forme de flashbacks tout au long de l'affrontement auquel il participe, Lü Bu Fengxian revient avec son propre spin-off inutile pour étendre encore l'ampleur de sa légende.

L'ère des Trois Royaumes, période historique au cours de laquelle les États de Wei, Shu et Wu se sont battus pour le contrôle de l'ensemble du territoire chinois, est l'une des périodes de l'histoire chinoise qui a laissé le plus de légendes, générant toutes sortes d'histoires fictives qui ont englobé tous les médias de divertissement possibles.  Au cours des 4 000 ans d'histoire de ce pays, il n'y a probablement pas d'autre époque plus populaire et qui ait laissé plus de personnages exceptionnels... mais parmi tous ces personnages, il y en a un qui s'est toujours distingué plus que les autres : Lü Bu, l'homme le plus fort et le plus puissant qui, avec son légendaire cheval "Lièvre rouge", a semé l'admiration et la terreur sur les champs de bataille de l'époque. Ce dieu chinois de la guerre a laissé derrière lui un total de sept légendes qui font écho à son immense pouvoir, sept histoires qui nous parlent de sa force et de ses capacités inégalées qui lui ont valu une place dans le ciel et lui ont ouvert la voie, en tant que représentant de l'humanité, pour affronter le dieu Thor dans l'histoire principale. Avec un dessin d'Ono Takeo qui rend hommage au style d'Azychika dans le manga original, ce spin-off maintient le même niveau de folie, avec des combats d'une violence inouïe, des exploits qui frisent l'absurde et des dialogues si masculins que la testostérone déborde des vignettes.