Réalisé par Brett Donowho.
L'ancien soldat Roman MacGregor (Ashton Holmes) a beaucoup souffert et souffre encore de souvenirs traumatisants de la guerre. Heureusement sa fiancée Mia (Tifanny Brouwer) est à ses côtés. Mais un jour, la jeune femme sera kidnappée et il y a de nombreuses indications qu'un réseau de trafiquants d'êtres humains est à l'œuvre. Dès lors, Roman met tout en œuvre pour sauver son amour et peut compter sur le soutien de ses frères Brandon et Deklan, qui ont aussi une expérience de combat. Mais ce n'est pas suffisant pour faire face à un adversaire aussi dangereux. Le groupe cherche donc de l'aide auprès de James Avery (Bruce Willis), un flic expérimenté et glacial. Il est incorruptible et impitoyable - donc idéal pour une mission de sauvetage audacieuse. En outre, Avery lui-même suit l'affaire depuis un certain temps et poursuit ses propres plans : Derrière cet enlèvement se cache Maxwell Livingston, un businessman véreux qui, sous couvert de ses activités, développe un réseau de proxénétisme forcé.
Pendant des décennies, les histoires des thrillers ont mis en scène des durs à cuire qui préfèrent résoudre leurs problèmes par eux-mêmes plutôt que de compter sur la police ou d'autres moyens légaux. Encore une fois, des Américains honnêtes se retrouvent à lutter contre les criminels maléfiques qui ne sont en aucune façon différents des précédents films du genre. Malgré son âge, Bruce Willis conserve toujours son charisme dans ce "Direct to Video". Si l'intrigue n'est pas novatrice, les rôles sont bien tenus, les échanges verbaux sont en accord avec les situations et la mise en scène ne manque pas de panache.
VERDICT
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Acts of Violence reprend les codes du genre. L'action est très présente, le casting s'en sort avec les honneurs et le spectacle s'avère plutôt concluant même s'il ne faut chercher aucune originalité dans ce long métrage.