![]() Plate-forme : Bande Dessinée Date de sortie : 17 Janvier 2025 Editeur : Développeur : Genre : Bande dessinée Multijoueur : Non Jouable via Internet : Non Test par Nic0078/10 Scénario et dessin : Tsuyoshi Yasuda Blue Wolves (Ao no Miburo) est une série toujours en cours de parution et qui a connu quatorze tomes à ce jour au Japon aux éditions Kodansha. L'année est 1863 et l'histoire se déroule à Kyoto. Nous suivons un jeune homme nommé Nio, une âme honnête et gentille qui prend soin de sa famille, mais qui a aussi une passion brûlante cachée pour la recherche de la justice. Depuis qu'il a rencontré Toshizo Hijikata et Soji Okita, membres d'un groupe de rônins détestés connu sous le nom de Miburo, sa vie prend un tournant vers un chemin plus bleu et plus clair. Nio, ainsi que les autres hommes dont les cœurs brûlent courageusement et sincèrement, s'avancent vers un chemin honnête avec leurs volontés bleues ornées sur leurs cœurs ! « C'est fini, j'y mets fin. » La brutalité de Serizawa s'intensifie après qu'un incident tragique se soit produit au sein de l'unité. Pendant ce temps, Hijikata se décide enfin à affronter Serizawa, qui a mis en danger ceux qu'il est censé protéger. Au même moment, un incident bouleversant se produit au Palais impérial. Miblo reçoit également des ordres du clan Aizu et se rend sur les lieux, mais se dispute avec le gardien et se retrouve bloqué. La retraite était une situation inévitable, mais c’est cet homme qui a renversé la situation. Au milieu de la douleur et du chagrin, les hommes croient en leur propre droiture et s’y tiennent ! ! Dans cette série sur le thème du Japon féodal, il est principalement question de clan et de guerriers, et tout ce qui en découle. Le manga Kenshin et les somptueuses OAV qui en sont dérivées ont fait frémir les années 1990 !Alors évidemment ans la saga Blue Wolves, il y a tout ce qu'il faut : Des personnages aux personnalités fiselées, subtiles, de la bravoure, du courage, de l’étique et de la perfidie aussi. On ne maintient pas l’ordre dans la joie et la bonne humeur ! Et ce qui fait papillonner, de l’émotion ! Derrière la rage, la vengeance, il y a tout le panel des sentiments humains, et bien mené, c’est beau. Ce onzième tome place Serizawa au cœur du « combat ». Choisir son camp, rester fidèle… Ne pas vaciller. Comment être certain d’avoir fait le bon choix ? Le destin des Miburo est sur le point de chanceler. Serizawa devient adoré par Okiku, la fille de la famille chez qui il séjourne. C'était rafraîchissant de voir une personne aussi adorée, mais la mort d'Okiku ne fait qu'accélérer encore plus le déchaînement de Serizawa Kamo. Cela a conduit à l’incendie d’entreprises. Hijikata se prépare à couper. Nous avons été surpris de découvrir que Niimi, que je pensais être du côté de Serizawa, était en fait neutre. Graphiquement, c’est magnifique. Un côté à la fois rétro mais aussi très moderne. Avec la part belle aux expressions ! On lit une épopée ! On vibre à chaque coup d’épée, à chaque conflit, c’est dynamique et souvent tragique. Mais on est totalement plongé dans le cœur des hommes. Vivre ou mourir pour un idéal… En temps de guerre, la limite est très fine… Cela dit, c’était un peu trop extravagant et trop de personnes ont été sacrifiées. C'est triste que Taro l'ait autant vénéré, mais sans son sacrifice, le Shinsengumi n'aurait pas pu continuer dans le futur. VERDICT-L'histoire passe soudainement du point de vue d'Okiku, mais la fin est inattendue. Serizawa-san n'est pas mauvais. Il a l'air heureux quand il parle à Niimi et à son ami d'enfance. On arrive à un point où il n’y a plus de retour en arrière. |