La météorite qui menace les dinosaures d'extinction s'écrase sur Terre. Franck et ses amis fuient la catastrophe, espérant retourner au XXIe siècle en passant par le volcan. Ils sont presque piétinés par une horde d'animaux en fuite et se retrouvent dans un cimetière de mammouths. Quant à Isaac et Chipolata : vu toutes les horreurs qu'ils ont commises à la préhistoire, ils risquent fort d'aller en prison au XXIe siècle. Leur seul espoir de salut réside dans un retour au présent… sans que les autres ne les suivent !

Franck est un garçon placé dans un orphelinat. Ses parents étant présumés vivants, il part à leur recherche. Au cours de ses pérégrinations, il se retrouve propulsé dans la préhistoire par un portail. Au départ, la situation est plutôt cocasse, car la présence d'un garçon du XXe siècle dans la préhistoire est source de nombreux quiproquos. Au fil des épisodes, il fait la connaissance des peuples préhistoriques, mais dans la deuxième saison, d'autres personnes du XXe siècle pénètrent elles aussi dans la préhistoire par des portails. Franck se retrouve ainsi plus ou moins à la tête d'un groupe hétéroclite. Soudain, une météorite s'écrase sur Terre, annonçant la fin de l'ère des dinosaures. Franck et son peuple fuient, mais le désastre les poursuit de près, déchaînant tremblements de terre, inondations et incendies. Entre-temps, Frank est tombé amoureux de Kenza, une fille du groupe. Face à l'apocalypse qui menace la Terre, il n'a plus aucune raison de cacher ses sentiments. Franck et Kenza se déclarent leur amour juste au moment où ils arrivent au passage vers le XXe siècle . Alors qu'ils s'apprêtent à suivre les autres, ils entendent les cris de deux retardataires derrière eux. Kenza veut les sauver, tandis que Franck craint que le passage ne se referme. On retrouve dans ce tome toujours de l’action, des aventures temporelles, de l’apprentissage (quoique maintenant plutôt en mode perfectionnement). Mais aussi toujours des découvertes, de l’entraide, du don de soi… et de l’amour. Encore un récit riche avec beaucoup d’humour (aussi dans les détails). Cela reste très sympathique, avec des graphiques aboutis. C’est la fin d’un cycle mais quelque chose va encore mal tourner et il faudra continuer.