Le Palais des Assassins (Ansatsu Koukyuu: Ansatsu Nyokan Karin wa Yuttari Ikitai) est une série toujours en cours de parution au Japon et qui a connu cinq tomes à ce jour aux éditions Shogakukan. Le harem impérial est le lieu où se rassemblent toutes les beautés du monde. Karin, servante en formation, rêve de se faire des amis. Cependant, en raison des actes odieux de son père en tant que politicien, elle passe des journées en larmes alors que tout le monde a trop peur pour l'approcher... C'est alors qu'elle remarque que le jeune empereur, le seul à vouloir la traiter avec gentillesse, est pris pour cible par des assassins. Que va-t-il advenir d'elle alors qu'elle s'implique dans les conspirations du harem impérial tout en protégeant l'empereur grâce aux compétences d'assassinat héritées de son père ?

Reiko, une gentille collègue, est soupçonnée d'avoir espionné la cour après qu'elle ait envoyé une lettre à son amant et est faite prisonnière. Alors que Karin fait le tour du sanctuaire intérieur pour la sauver, que se passera-t-il ? Va-t-elle retrouver l'empereur et travailler ensemble de manière inattendue !? C'est alors que son frère aîné, qui ressemble exactement à son père politicien corrompu entre en scène. Il est beau mais sadique et a utilisé Karin comme servante quand il était enfant. Quel est le sort des reines qui ont perdu la faveur de l'empereur ? Quel est le douloureux souvenir d'amour pour l'empereur décédé que l'une d'elles garde dans son cœur ?  Dans ce tome, Karin a été évitée par ses collègues du palais intérieur à cause de son tristement célèbre père, mais elle sauve Reiko et peut enfin lui parler. Son soulagement fut cependant de courte durée lorsque son frère aîné, visita le palais en tant qu'envoyé impérial. Bien qu'il soit assez arrogant dans ses paroles et son comportement, il semble vraiment aimer et se soucier de sa jeune sœur. Il lui demander de l'aider à retrouver le coupable du vol d'un corps appartenant à la famille impériale. Après cela, Karin  est mis en service dans le palais froid, ment à une princesse étrangère et pleure de dégoût de soi. La maladresse et la solitude de Karin est perceptible. Bien qu'elle soit adorable, le fait qu'il n'hésite pas à se salir les mains est en fait sympathique (pour le moment), car elle fait preuve de compassion et de gentillesse en soutenant l'empereur faible. Inutile de dire que le point culminant de ce volume est l'échange occasionnel de petits pains à la viande dans la voiture, qui est précieux et chaleureux. La jeune fille aux dents dentelées pourra-t-elle sauver l'empereur ? Le passé de son père, O Ko, est également un sujet de préoccupation.