Il était une fois Godzilla

Godzilla est apparu en 1954. Ce pseudo dinosaure, est issu de mutations génétiques dûs à des radiations, et il a eut droit à plusieurs adaptations cinématographiques; le plus récent étant celui de la Columbia avec Jean Reno.

Dans ce nouvel épisode, Godzilla devra donc sauver la Terre avec ses amis mutants. La base de jeu reprend celui de l'épisode précédent (Destroy All Monsters Melee) tout en essayant de l'enrichir. Il en résulte un mode solo plus complet et l'apparition d'un mode online.

Bourrin ? Moi jamais

Une sorte de mode Histoire est donc présent et vous combattrez dans des reproductions de villes réelles tels que New York ou Londres. Ne cherchez pas grand scénario, on se contentera de foncer dans le tas, et exploser les méchants (oui la ville également) sans rien faire davantage. Il est même parfois difficile de se repérer dans cette avalanche visuelle. Cependant les développeurs ont crée divers mutants, avec des combinaison de combat différentes, même si au final on ne ressent pas vraiment de changement. Il faut toujours tout exploser.

En plus du pseudo story mode, Godzilla comprend d'autres modes comme les Challenges, où en plus de tout détruire, vous pourrez vous essayer à du basket ou encore divers objectifs secondaires, le mode multijoueurs où vous pourrez vous affrontez jusqu'à 4 en simultané avec en plus un mode Online additionnel, qui n'apporte fondamentalement rien de nouveau.

Godzilla, pas géant techniquement

Globalement Godzilla Save The Earth est assez moyen visuellement. Des textures trop fades sur les dinos, un environnement graphique un peu pâlot et pas vraiment riche, sans parler de l'animation des géants parfois très raide.

La maniabilité reste assez correcte comme la bande son, mais la durée de vie quand à elle n'est pas très élevée même si certaines missions sont amusantes, et vu le concept vous n'aurez pas forcément envie de refaire le jeu une fois terminé. A noter cependant que le jeu sera lancé à 19.99€, ce qui limite l'investissement.